vendredi 31 mars 2017

Noordoewer, Karas, Namibie

31 mars 2017

Jour 56
Nous avons très bien dormi, a l'air climatisé.
Avoir la climatisation dans les chambres est devenu une nécessité.
Ça fait plus de 4 jours que nous avons des températures au dessu de 40 celsius.
Le matin (comme ce matin) lorsque nous sortons déguster notre café à l'extérieur, l'air est fraîche et nous sommes très bien.
Plus l'avant-midi avance, plus le soleil plombe.
Vers 11:00hre se n'est plus endurable......pour des petits blanc comme nous!
Dans le milieu de l'après-midi........là c'est l'enfer.
Ce n'est que lorsque le,soleil se couche, qu'un semblant de fraîcheur reviens......avec les bibittes!

Au moment de la rédaction de ce texte, il est 16:00 hre. 
Voulant profiter du grand air, je me suis confortablement installé a l'ombre d'un arbre.
Je me suis dit.....je vais profiter du bon vent qu'il y a.
C'est un vent qui dépeigne......mais un vent CHAUD.
Après tout! Je suis pas certain que je vais y rester longtemps.

Ce matin nous avons quitté Keetmanshoop vers 09:00hre c'est généralement notre heure pour quitter.
Comme d'habitude, on a bien hâte de reprendre la route pour voir si le paysage vas changer.

A approchant des limites de la ville, nous voyons des montagnes pas tellement loin à notre droite.
Bravo! On vas avoir autre chose que des déserts!
Hé bien non! Arrivé à l'intersection, un panneau nous indique la direction à gauche sur la B1 pour nous rendre à la frontière de l'Afrique du Sud, juste 300 km. plus loin.
Hé oui! nous retrouvons cette bonne vieille B1, cette belle route droite qui se perd à l'horizon.
Cette route qui nous a fait traverser la Namibie du nord au sud.

Bon, on vas revoir les meme paysages qu'hier et avant-hier.
Mais non! Après avoir parcouru une soixantaine de kilomètres, nous voyons poindre à l'horizon la silhouette de montagnes.
Graduellement les grandes étendus désertiques, rejoignent les montagnes et nous offrent de nouveaux paysages.

Mais! rien ne dure! 
Aussi timidement qu'elles nous sont apparue, les montagnes s'estompent pour redonner place au désert.
Après avoir parcouru 150 km. sans voir âmes qui vivent, nous arrivons à Grünau, un petit village qui ne doit pas avoir plus de 200 habitants.
A défaut de me répéter.....qu'est-ce qu'ils font ici ces gens là?

Il n'y a aucune usine ou entreprise dans les environs, il n'y a pas de grands élevage ou de culture, ils se trouvent à environs 150 km. d'un côté comme de l'autre de la plus proche ville.
La seul bâtisse importante qu'on a vue ce trouve à l'entré du village et c'est un hôtel avec chambre.
Il doit certainement y avoir une église, mais on ne la pas vue.

A partir d'ici, les champs sont beaucoup plus sec, donnant une autre couleur au désert.
La végétation est inexistante, il n'y a aucun point d'eau, rien ne résiste à cette chaleur.
Et pourtant quelques très rare habitations, apparaissent comme un oasis au cœur du désert.
A l'approche de l'extrémité de la route B1, une montagne semble s'ériger devant nous, comme voulant nous empêcher de traverser la frontière.
Nous voici arrivé à Noordoewer, village d'au plus 1,000 habitants, sise a 4 km de la frontière avec l'Afrique du Sud.
Plusieurs habitations sont construite en tôle, ça doit être incroyablement chaud???
En circulant dans les rues nous avons compris que ce n'était pas ici que nous trouverions à coucher.

Nous sortons du village et un kilomètre plus loin, nous avons la surprise de de couvrir aux pieds des montagnes, des champs de vignes!
Nous avons fait une découverte, il y a des vignobles en Namibie.

Bon c'est pas tout, il nous faut trouver oû coucher, nous ne voulons pas traverser en Afrique du Sud aujourd'hui.
Il y a un Guest House......trop cher.
Nous trouvons un lodge près de la frontière, le "Orange river lodge" c'est pas donné, mais on a pas le choix, y a plus d'hébergement.
L'endroit est beau, la chambre est grande et propre, y a l'air conditionné.

Ha oui! Y a une piscine oû justement je m'en vais me saucer.......bye, bye!

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