samedi 25 mars 2017

Swakopmund, Erongo, Namibie

24 mars 2017

Jour 50
En quittant notre Guest House (qui se trouve un peu hors de la ville) nous devons retourner fair le plein d'essence en ville.
Ho, ho! Il y a un arrange policier à la limite de la ville, lorsque nous passons ils sont tous occupés à vérifier des véhicules interceptés le long de la route.
Bon ça vas, mais on doit repasser par ici après le plein.

Pendant que nous faisons le plein, un local biens me voir et me dit qu'il me manque la plaque a l'avant de notre auto......comme si je le savais pas!
Il m'avise qu'il y a un barrage de police et se permet de me conseiller sur comment je dois agir avec les policiers, car il est certain que je recevra une contravention.

En sortant de la station d'essence, je me retrouve derrière une tracteur (backo) qui roule lentement.
Je me colle à son cul (a ces basques....pour mes amis français) et l'on se dirige allègrement vers le barrage routier.
Étant près du tracteur, le regard des policiers n'est pas attiré vers le devant de notre véhicule, mais plutôt vers ces passagers et nous font signe de passer.......et voilà! le tour est joué.
J'ai peut-être évité un autre ticket!

Nous voilà reparti sur la C33 direction Karibib.
3 à 4 kilomètres plus loin, nous voyons traverser la route devant nous un chacal, j'ai pas eu vraiment le temps de le photographier.
Faut toujours avoir la caméra de prêt....mais là....je l'était pas.
Le décor ressemble à hier et avant hier, mais on peu rajouter en bonus les montagnes au loin.
Ha oui! Et les trous sur la route.
Moi qui hier, ai vanté la qualité des routes du Namibie, et bien aujourd'hui ça se gâte.
Ça doit être les mêmes entrepreneurs qu'au Botswana! Je reconnais les trous.

La route C33 descend vers le Sud-ouest et nous constatons une différence de paysage, ça deviens de plus en plus sec.
Nous traversons deux ponts qui sont sans eau, j'appelle ça des rivières de sable.
La route nous conduit à Karibib, d'ici nous empruntons la N2 tout voiles ouvert, direction l'océan Atlantique. 
Nous en avons pour 175 km avant d'arriver à Swakopmund.

Plus nous avançons, moins il y a de végétation, nous entrons dans la région semi-désertique de Erongo.
Le sable se fait de plus en plus présent, le décor change......et bordel qu'il fait chaud!
Lorsqu'arrive l'heure du dîner, nous voulons nous réfugier a l'ombre d'un arbre, mais...il n'y a pas "l'ombre d'un arbre".
(Beau jeux de mots! Je me surprend! )
Bon  y a pas d'arbre, mais au moins ils ont pensé à des airs de repos avec abris.
Mais on est pas resté bien longtemps à l'extérieur, le lunch fini on est retourné nous réfugier a l'air climatisé de l'auto.
Y doit faire dans le 40 celsius.
Lorsque nous avançons, nous avons l'impression de rouler sur un tapis de bitume qui a été déroulé sur le sable.
S'il y avait des puits de pétroles le long de la route, on pourrait facilement s'imaginer dans un pays arable.

Faut pas s'attendre à voir des villages de rondavels ici!

Saviez-vous que le Namibie est le pays le moins populeux du continent africain.
Seulement 2,100,000 personnes.

Lors que nous arrivons à Swakopmund, c'est comme si nous traversons une barrière.
Nous passons subitement du désert a une ville de 42,000 habitants.
Et c'est une belle ville.....blanche.
C'est ici que l'on retrouve la plus grande concentration d'allemand du Namibie.

Bon c'est pas tout, il nous faut trouver un endroit où coucher.
Dans nos recherche d'hébergement, nous nous retrouvons au bord de la mer.
Il y a un hôtel backpacker.
Manon désire aller voir.
Bonne décisions, nous avons une chambre avec salle de bain, tout à coté de la cuisine communautaire.
L'endroit est très propre et sympathique.......et comme dit Manon: <<ça fait ton affaire parce que c'est pas cher!>>
<< Bin oui! T'as bin raison, c'est moi le cheap du couple >>
<< Mais a l'avenir Manon, c'est toi qui vas aller négocier les tarifs de chambre >>

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