mardi 21 février 2017

Maseru, capital du Lesotho

20 février 2017


Nous quittons Rouxville encore sous la pluie. 

Nous avons très bien dormi dans cet ancien garage devenu une chambre pour b&b.

Karen et son mari son des gens très sympathiques.

Lui était jugé de la cour criminel pour la région.

Son palais de justice se trouve à Rouxville.

Il a été obligé d'arrêter de siéger a cause d'un problème de sourdité.


De Rouxville nous prenons une nouvelle route, la 26 qui doit nous conduire a Ladybrand a la frontière et d'ici nous traversons le Lesotho pour arriver à Maseru la Capitale.

Ça c'est se qu'on nous avait conseillé de faire.

Mais en cour de route, nous avons décidé de modifier le trajet.

Pourquoi entrer par la route la plus achalandé? 

Alors qu'il y a d'autre entré possible beaucoup moins utlisé.

Nous voyons sur notre carte du pays, qu'il y a Van Stadensrus une route qui conduit à la frontière du Lesotho, il faut juste la trouver.

Seul une petite pancarte a la limite du village nous indique la direction.

Dix kilomètres plus tard, nous voilà arrivé à la frontière.

Modalité de passage oblige pour sortir de l'Afrique du Sud, avec vérification du coffre arrière par des policiers.

Tout est en ordre et nous voilà reparti, pour aussitôt nous immobiliser a une guérite.

La deux gars en jeans nous réclame 30 ran ($3.) pour entrer au Lesotho.

La barrière traversé, il faut s'arrêter et trouver le bureau des douanes!

Pas évident à trouver, y a rien d'indiqué?

On la trouvé entre deux bâtisses et nous pataugeons dans la boue pour nous y rendre.

Ici aussi c'est un gars en jeans et t-shirt qui nous reçoit.

Rien de bien officiel.

On se croirait à une cabane à patate frite, attendant notre lunch!


Lorsque nous traversons la frontière, il pleut.

Nous sentons immédiatement qu'il y a une différence entre l'Afrique du Sud et ale Lesotho.

Nous n'avons pas encore quitté le poste de douane, que nous voyons la pauvreté.

Cabanes délabrés, rues de terre et boueuse, les vêtements des gens usés se recouvrant de couvertures.


Nous prenons la route direction Maseru la capitale.

Première expérience avec la route.....les dos d'âne.

(Un dos d'âne, par chez-nous se sont les bosses que les municipalités installent dans une rue pour ralentir la circulation)

Ici j'appellerai ça plutôt "des dos de chameaux".

Pas de farce, Ils ont parfois jusqu'à 10 pouces de haut!

Notre premier passage de "dos de chameau" s'est avéré être un saut de trampoline.

Merde! Ça surprend....et ça fait rire les gens.

Souvent ils sont annoncés, quand tu arrive dessus.


Seconde point à surveiller sur la route!

Tout se qui bouge le long de la route et qui n'est pas "automobile".

Ici les gens marches beaucoup le long des routes et la pluie de semble pas les déranger.

Il y a également les animaux vaches, moutons, ânes, gardés par des bergers et ce même dans les limites de la capitale.

Troisième points!

Les nids de poules, il y en a à profusion et pas des petits, surtout en ville.

En plus il sont remplis d'eau de pluie et ils peuvent être profond.


Quatrième et dernier points!

Surveiller tous les véhicules, sans exceptions!

S'il y a un code de sécurité routière ici, y doit pas être bien épais.

Ils conduisent mal, ils peuvent vous faire un demi tour devant vous sans prévenir.

Plus de la moitié des véhicules se sont des tacos plein de bosses.

Lorsqu'il nous croisent, j'ai toujours peur de recevoir un morceau d'auto.


Lorsque vous avez maîtrisé tous ces points, il ne vous reste qu'à maîtriser vos nerfs!


Se qui est encourageant, le paysage est très beau.....malgré la pluie.

On a de bon pressentiment pour la suite du voyage dans le pays.




Arrivé à Maseru (300,000 habitants) c'est pas se qu'on peu appeler une belle ville.

C'est plutôt bordélique et capharnaüm!

Le temps de trouver un petit centre d'achat, de prendre un café (pour relaxer) et faire notre grocerie, nous repartons.


Direction notre chambre, pis là on a pas de GPS seulement une petite map de la ville, grande comme un napperon de table.

Le fun vas commencer, une chance que sa roule pas vite! 

De toute façon y peuvent pas avec les dos de chameaux et les nids de poules. 


Mais surprenant on a trouvé notre chambre sans trop se tromper.

Dans un quartier qu'on imaginerais pas le trouver!

On s'écrase et on ne sort plus du restant de la journée.


https://goo.gl/maps/R9jN7Ps2x4K2

Le Seilatsatsi B&B




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